Pour activer une contrainte, il faut auparavant cocher la case correspondante. Si la case n’est pas cochée, la zone est mise à blanc. Elle ne sera pas contrôlée, ni prise en considération par la procédure d’optimisation.
Sous-traitance autorisée : cela signifie qu’une telle famille d’articles peut être fabriquée soit en interne, soit sous-traitée.
Sous-traitance seulement : cela signifie qu’une telle famille d’articles n’est pas fabriquée en interne ; elle est entièrement sous-traitée. Elle réalise néanmoins du chiffre d’affaires.
Volume maxi de sous-traitance par période. On précise ici le volume maximum d’articles que l’on peut passer en sous-traitance par période.
V Coût de l’article sous-traité. On indique ici le coût de l’article lorsqu’il est fabriqué en sous-traitance. Généralement le coût de sous-traitance est supérieur au coût standard de fabrication interne.
Couverture minimum en pourcentage de la demande de la période suivante. Il s’agit de l’objectif de stock minimum à la fin de chaque période. On l’exprime ici en pourcentage de la demande de la période suivante. Par exemple, on désire disposer en fin de chaque mois d’un stock égal à la moitié de la demande du mois suivant pour maintenir une bonne qualité de service.
Couverture maximum en pourcentage de la demande de la période suivante. C’est une contrainte de stock maximum à la fin de chaque période. On ne veut pas constituer un stock trop important, par exemple dans le cas d’articles périssables ou dont la demande est incertaine. On l’exprime ici en pourcentage de la demande de la période suivante.
Stock initial. Ce stock correspond à la quantité d'articles fictifs dont on compte disposer au début de la première période de planification.
Stock minimum (toutes périodes). Ce stock correspond à la quantité d'articles fictifs dont on veut disposer à la fin de chaque période de planification.
Stock final imposé. Cela correspond au stock final minimum que l’on désire avoir à la fin de l’horizon de planification ; par exemple pour éviter de commencer l’année suivante avec un stock nul.
Ruptures maximum autorisées en pourcentage de la demande de la période. Dans certains cas, on peut admettre des ruptures de stock si la demande est trop forte. On l’exprime ici en pourcentage de la demande de la période suivante. Par exemple, on peut admettre de ne pas livrer 20% de la demande. Si cette donnée n’est pas spécifiée, aucune rupture ne sera admise.
Pourcentage de ventes reportées. Si l’on ne parvient pas à livrer à temps la totalité de la demande, certains clients peuvent accepter des retards de livraison. La demande non satisfaite immédiatement est alors reportée à la période suivante. D’autres clients annulent leur commande. Généralement une partie des clients accepte le report. On indique ici le pourcentage estimé de la demande qui peut être reportée. 0 signifie que la totalité des ventes non satisfaites à temps est perdue. 100 (%) signifie que la totalité des ventes peuvent être reportées. Dans les deux situations, la rupture a un coût.
V Coût de rupture (par unité et par période) si vente reportée. On indique ici le coût estimé de rupture par unité non livrée à temps si la demande non satisfaite peut être reportée sur la période suivante.
V Coût de rupture (par unité et par période) si vente perdue. On indique ici le coût estimé de rupture par unité non livrée à temps si la demande non satisfaite est définitivement perdue.
L’ensemble de ces paramètres permet de définir finement la politique commerciale pour la famille de produits considérée.